Pourquoi choisir Cavalassur ?
Portraits

Le portrait de Sadia

Edité le 01/02/2017

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Le portrait de Sadia

Sadia est la première a avoir été embauchée par Cavalassur. A la tête du service sinistres, elle est un pilier de la société.

Sadia, quelle est ta fonction chez Cavalassur ?

Je suis responsable du service sinistres. Au quotidien, mon travail consiste à prendre en charge l’instruction des dossiers, ainsi que les règlements lors d’une déclaration de sinistre complexe. Ces tâches nécessitent une bonne technicité et connaissance du cheval, tant en terme d’anatomie que de pathologies, technicité qui me permet d’évaluer au mieux le coût d’un sinistre afin que ni l’assuré, ni la compagnie ne soient lésés. Il m’incombe également d’estimer le coût d’un préjudice subi ou réalisé par notre assuré, et si besoin de présenter notre recours aux autres compagnies.  Enfin, j’ai la responsabilité des employés qui œuvrent dans mon service : Latifa, Sylvain, Marine et Maureen.

Qu’est ce qui t’a amenée à travailler chez Cavalassur ?

J’ai croisé la route de Mr Jeangirard (fondateur de Cavalassur) d’abord dans un cadre scolaire puisqu’il a été mon professeur d’assurance Dommages pendant 2 ans au cours de mon BTS Assurances. L’aventure a continué lorsqu’il m’a ensuite proposé un poste en CDI en 2001. Voilà donc plus de 15 ans que je profite de l’opportunité d’avoir appris mon métier à ses côtés.

Quel a été ton parcours équestre ?

Mes premiers contacts avec les chevaux ont eu lieu chez mon grand-père marocain, chez qui j’ai passé mon enfance entourée d’animaux et notamment de chevaux. Que ce soit lors de courses ou dans un cadre plus folkloriques comme lors de fantasias, je ne me suis jamais lassée d’admirer la majesté et l’allure des purs sangs arabes.

J’ai gardé de cette époque des souvenirs agréables et une affection particulière pour les chevaux. Aussi, lorsque j’ai commencé l’aventure Cavalassur, nos locaux se trouvaient dans une écurie et J’ai profité de cette aubaine pour suivre des cours d’équitation, à raison de 2 séances par semaine pendant 4 ans. J’ai donc pu progresser principalement en dressage, qui reste ma discipline préférée.

Peux-tu nous raconter l’un de tes souvenirs équestres les plus marquants ?

Justement dans le cadre de ces cours, je montais Elégant, un poney appartenant à Mr Jeangirard. J’étais tranquillement au pas quand il a pris peur d’une abeille. Il s’est cabré, est parti au galop et je suis tombée de tout mon poids sur le coccyx. Les douleurs qui ont suivi cette chute m’ont obligée à travailler debout pendant un mois !

Enfin, quel conseil pourrais-tu donner à la communauté Cavalassur ?

De par mon travail, je fais face tous les jours à de nombreuses situations difficiles pour le cheval comme pour son propriétaire : Des accidents imprévisibles et variés, des maladies, des opérations (toujours coûteuses) mais aussi des moments insolites et dangereux comme ce cheval tombé dans une piscine ou celui qui divague au galop sur la voie publique. Notre rôle est également d’accompagner nos clients dans des moments dramatiques comme une demande d’euthanasie. Il est important qu’un assureur soit en mesure d’accompagner ses clients dans tous ces moments. La valeur sentimentale d’un cheval est inestimable, et le coût des soins mis en place en cas de problème est élevé. Mon conseil est donc tout simple : Pour toutes ces raisons, faites attention à être bien assurés.

Edité le 01/02/2017

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