Pourquoi choisir Cavalassur ?
Pratique

L'assurance du cheval de sport

Edité le 20/11/2019

Partager l'article
L'assurance du cheval de sport

Il y a autant de besoins en assurance que de chevaux en France. Lorsqu’on est responsable d’un cheval de compétition, que faut-il privilégier ?

cheval saut hunter

La responsabilité civile

Quelle que soit l’activité que vous pratiquez, une responsabilité civile est vivement conseillée : Les dommages causés par votre cheval peuvent coûter cher, et les risques sont forcément plus élevés lorsque vous déplacez votre monture dans un lieu inconnu lors d’une compétition, d’un stage ou d’un entrainement.

La RC, c'est la garantie qui couvre les dégâts provoqués à autrui par le cheval qui est sous votre responsabilité (monté ou non: Le gardien n'est pas toujours le cavalier ou le propriétaire, tout dépend des situations). Si votre monture en tape une autre, abîme une voiture sur le parking, ou encore blesse un enfant en le bousculant, l'indemnisation sera demandée au gardien du cheval.

Si la RC est une garantie non obligatoire (mais parfois exigée par l'écurie ou la manifestation sportive), le fait d'indemniser la victime, lui, l'est! Proposée à un tarif très raisonnable (de 28 à 58 € par an), la RC permet donc d’éviter des frais qui peuvent être très importants en cas de dommages corporels par exemple.

Parfois, la RC est comprise dans l’assurance habitation : Attention aux éventuelles limites qui peuvent alors se poser (géographiques, mais il existe aussi des exclusions dont la compétition peut faire partie).

Le décès 

Souvent, un cheval ou un poney acheté dans un objectif de compétition a une valeur plus élevée qu'un cheval de loisir. L’assurance décès ne permettra pas d’adoucir la peine causée par le décès d’un compagnon, mais offre la possibilité d’envisager un avenir sportif en permettant l’acquisition d’un nouveau cheval.

Attention, l’augmentation de la valeur assurée élève le montant de l’indemnisation, mais également celui de la prime payée. Il convient donc de faire régulièrement le point avec l’assureur : Les performances ou au contraire l’arrêt temporaire de la compétition peuvent faire varier la valeur de l’équidé, et dans certains cas il sera utile de la modifier dans le contrat grâce à un avenant.

Les frais vétérinaires

Cheval de complet
Les risques sont présents en CCE

Là encore, quelle que soit l’activité ou la discipline que vous pratiquez, certains risques sont identiques qu’il s’agisse d’un cheval de sport, de loisir, ou retraité. 

Néanmoins, le fait de pratiquer la compétition engendre également des risques supplémentaires : Stress, transport, sollicitations physiques plus élevées… Les accidents, les tendinites mais aussi certaines maladies comme les coliques peuvent être favorisés par la pratique de la compétition. 

Pour être prise en charge, une pathologie ne doit pas avoir été diagnostiquée avant la souscription. L’anticipation est donc conseillée. Elle l’est d’autant plus s’il s’agit d’un cheval jeune ou que vous venez d’acquérir, qui pourra avoir des réactions inhabituelles dans un cadre qui lui est étranger.

En résumé, une garantie accident et/ou maladie a réellement une utilité lorsqu'on transporte, fait concourir et soigne un cheval qui est amené à être confronté à des situations nouvelles, stressantes ou sportivement poussées.

L’invalidité

Il arrive malheureusement que suite à un accident ou à une maladie, un cheval ne soit plus apte à pratiquer la discipline dans laquelle il excellait. La garantie invalidité permet alors une indemnisation pouvant aller jusqu’à 80% de la valeur assurée du cheval concerné.

Spécialement étudiée pour les chevaux de compétition, l’invalidité peut concerner uniquement les accidents, ou les accidents et maladies. Là encore, l’idée est que le cavalier ait la possibilité de se remettre en selle si son cheval n’a, de façon permanente et définitive, plus la capacité de poursuivre une carrière sportive.

cheval poney saut

L’assurance n’est donc pas fondamentalement différente qu’il s’agisse d’un cheval de sport ou de loisir. Il faut cependant noter que les risques sont souvent plus élevés lorsqu’un cheval pratique la compétition, et que la valeur du cheval étant souvent proportionnelle, une garantie décès permet de sécuriser l’investissement effectué. Quoiqu’il en soit, le titulaire du contrat est tenu de signaler à son assureur tout changement d’activité de son cheval. La plupart du temps, le montant de la prime ne change pas ; mais ne pas mentionner la pratique d’une discipline peut dans certains cas entraîner la non prise en charge d’un sinistre.

Edité le 20/11/2019

Partager l'article

Articles suggérés

Obtenir un devis