Pourquoi choisir Cavalassur ?
Portraits

Ambassadeurs 2017: Mathieu

Edité le 30/11/2017

Partager l'article
Ambassadeurs 2017: Mathieu

C'est le seul représentant masculin cette année! Voici le portrait de Mathieu, cavalier de CSO et ambassadeur Cavalassur pour 2017.

Mathieu, peux-tu te présenter brièvement ?

J’ai 22 ans et je représente la région Occitanie, bien que je sois actuellement basé à Nantes où je me forme à un DEJEPS d’équitation, mention CSO. C’est cette discipline que je pratique donc.

Peux-tu nous rappeler ton parcours équestre ?

J’ai commencé à faire des balades sur un shetland nommé Gimli alors que j’avais 3 ans et demi, aux écuries d’En Graougnou à Toulouse, chez Hélène et Christophe Giroud. J’y suis resté 14 ans, en commençant les concours en CCE en 2007 grâce à Christophe mais aussi Delphine Desjardins qui m’ont réellement mis le pied à l’étrier et fait aimer la compétition.

J’ai changé d’écurie quand j’ai eu 18 ans, et découvert le CSO que j’ai commencé à pratiquer en club 1 et élite. Ma rencontre avec Wilfried Girbas il y a 3 ans a été déterminante : C’est lui qui m’a donné envie de professionnaliser ma pratique équestre, et d’intégrer le milieu autrement qu’en tant que cavalier de loisir. J’ai commencé les concours amateurs, et fin juin 2015 j’ai fait l’acquisition d’O d’Amour, une jument avec laquelle j’ai évolué sur le circuit Toulouse Jumping Tour en amateur 2. Au terme de ce circuit j’ai pu participer à la finale accessible au top 10, je suis reparti avec une belle 5ème place.

Fin décembre de la même année j’ai acheté Quasting du Ponson, avec pour objectif d'évoluer dans les épreuves mais aussi de pouvoir prétendre aux tests d’entrée au DEJEPS. Alors groom de Wilfried, j’ai assisté et participé à de nombreuses compétitions nationales et internationales surtout avec Quasting puisque O a été arrêtée à cause d’une tendinite. Ma 2ème saison en amateur m’a donc permis d’aller d’amateur 1 à amateur élite, avec des classements jusqu’en CSI.

En fin d’année, j’ai passé les tests d’entrée du DEJEPS et intégré début novembre 2016 ma formation à Nantes, chez Pierre-Marie Dubois. Une évolution positive pour ma carrière professionnelle mais un peu plus difficile en terme de résultats : il m’a fallu m’adapter aux chevaux plus nombreux au travail et au changement de région.

Peux-tu nous parler de tes chevaux actuels ?

Ma jument de cœur est O d’Amour, c’est une selle français de 15 ans, ma première jument qui m’a permis de découvrir les victoires et les épreuves amateurs ! Wilfried l’a choisie pour moi, les débuts ont été compliqués le temps pour moi de me mettre avec et de gérer sa force. C'est une jument compétitive ; une fois entrée en piste, elle n’a qu’un seul objectif : finir le tour le plus rapidement possible, tout en étant respectueuse des barres.

Quasting du Ponson est un petit cheval d’1m57, qui n’avait pas forcément les origines classiques des chevaux de CSO : Il est croisé pur-sang arabe et cheval de sport polonais ! C’est un super cheval, très gentil, mon copain de concours, véritable maître d'école qui m’a permis d’accéder à mes plus grosses épreuves rapidement. Il est un peu coquin au paddock, il aime bien embêter les autres chevaux ! J’ai dû le vendre récemment, tout simplement parce qu’il n’était pas prévu que je le garde…

Enfin je monte un cheval de 7 ans, Aravis d’Yrem appartenant à Charlotte Degien sur lequel j'ai pu compter tout au long de cette saison, mais aussi d’autres chevaux de propriétaires.

J’espère pouvoir acquérir un jeune cheval dans quelques temps pour pouvoir le faire à ma main et lui apprendre à mon tour ce que j’ai appris de mes précédents chevaux.

Quels sont tes objectifs pour la saison 2017-18 ?

En 2017 à la suite de mon déménagement l’objectif était surtout de découvrir la région, de m’installer plus professionnellement, de gagner la confiance des propriétaires des chevaux que je monte, et de mon patron. En 2018 j’espère être plus performant, et pouvoir découvrir le circuit jeunes chevaux, en terminant éventuellement parallèlement par le championnat de France des enseignants.

Quel est ton meilleur souvenir équestre ?

C’était l’an dernier lors de mon 1er CSI 1* à Royan, avec Quasting. Sur les 3 jours de concours, la 1ère épreuve était une 120 que je termine sans faute, la seconde était une 120 nocturne dans laquelle ne n’ai pas eu de chance puisque ma sangle a cassé à l’abord d’un obstacle… Je suis donc tombé, et la participation à ma 1ère 125 le lendemain était un peu délicate. J’ai choisi de partir sur la 110 à la place. Déçu et bien remonté, j’ai tout donné, eu un peu de chance et j’ai gagné ! La marseillaise ce jour-là reste un souvenir émouvant et important, mon meilleur souvenir de concours.

Qu’est-ce que le fait d’être ambassadeur change à ta saison ?

Représenter une assurance c’est important, beaucoup de chevaux de sports ne sont malheureusement pas assurés et le fait de monter des chevaux de propriétaires m’en fait prendre conscience. C'est en étant assuré que j'ai pu soigner à moindre coût les tendinites de ma jument : Étant client chez Cavalassur, il me semble naturel de représenter cette entreprise dans le milieu de la  compétition équestre afin de sensibiliser au maximum les cavaliers. Ce contrat m'a permis d’acquérir une première expérience dans le sponsoring, et également une certaine confiance et reconnaissance de votre part. Représenter Cavalassur me donne envie de bien faire.

As-tu un conseil, une astuce, un porte-bonheur à partager avec notre communauté ?

Un porte-bonheur a fait son entrée cette saison dans le rituel que nous avons avec des amis propriétaires : Un drapeau de la France nous accompagne dans nos concours, et lorsqu’il est dans le camion, ne repartons toujours avec au moins un classement. Ce rituel fonctionne encore mieux quand, en plus, on mange des oréos !

Retrouvez Mathieu sur Facebook et Instagram.

 

 

Edité le 30/11/2017

Partager l'article

Articles suggérés

Obtenir un devis